Le travail à mort ; au temps du capitalisme absolu

À propos

Le Travail à mort pose la question cruciale de la «centralité» du travail : des liens qu'il entretient avec l'«idéal démocratique» ; de l'injustice et de la violence qui l'accompagnent sous ses formes physiques, et psychiques (voir les effets des politiques de l'évaluation) ; de la «servitude volontaire». Mais aussi des conditions dans lesquelles des singularités sont susceptibles de résister au travail, notamment en revendiquant d'être «les sujets de leurs normes». Il s'agira alors de porter son attention sur ceux qui ne travaillent pas, mais aussi sur ce qui ne travaille pas dans l'activité du travailleur, sur un agir intransitif - opposé au faire productif - capable de susciter des effets imprévisibles en faisant entrevoir un autre monde, dans un certain rapport avec l'utopie.


Sommaire

p.7 : Préface / p.13 : Travail et démocratie : des frères ennemis / p.39 : Au coeur du travail : la servitude volontaire / p.52 : Ahlam Shibli, Dependence / p.65 : De l'injuste à l'intolérable / p.102 : Lewis Hine, Child Labor / p.121 : L'inévaluable / p.144 : Florian Fouché, Transport en commun (La classe dans le couloir) / p.157 : Penser la singularité. Le travail du psychanalyste / p.170 : Jeff Wall, Untangling / p.173 : Le réel dans l'histoire / p.196 : Antonios Loupassis & Marc Pataut, La Rue / p.209 : Conclusion. Du sujet à l'oeuvre au sujet au travail

Rayons : Sciences humaines & sociales > Philosophie > Philosophie contemporaine


  • Auteur(s)

    Ogilvie Bertrand

  • Éditeur

    L'Arachneen

  • Distributeur

    Belles Lettres

  • Date de parution

    04/05/2017

  • EAN

    9782373670110

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    192 Pages

  • Longueur

    21.5 cm

  • Largeur

    13.5 cm

  • Épaisseur

    1.6 cm

  • Poids

    316 g

  • Support principal

    Grand format

Infos supplémentaires : Broché  

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