Filtrer
Rayons
Support
Éditeurs
Prix
Jarjille
-
Être soignante dans le monde d'après la pandémie et ne pas se relever, chuter toujours plus bas sans baisser les bras pour autant. Elle tombe, Chloé, parce que l'hôpital qui était une de ses raisons de vivre, a été sacrifié. Infirmière dans un secteur négligé, la psychiatrie, où le soin passe par l'écoute, dans un monde où personne ne s'écoute plus. Elle dont le but est d'aider les malades à reprendre pied dans leur vie, elle doit lutter contre des gens qui ne veulent plus vivre ensemble. Ne plus se voir ni se parler, ça s'appelle le déni, et c'est le premier niveau de bien des maux.
-
Microsillon : (nom masculin) : Le disque microsillon a été le principal support de diffusion d'enregistrement sonore commercial pendant la seconde moitié du XXe siècle (...) La surface en vinyle de chaque face est parcourue par un sillon en spirale sur lequel le début de l'enregistrement se trouve à l'extérieur et la fin vers le centre du disque.
Qu'est-ce qui nous fait tourner, nous, les mecs ? Un point d'équilibre, notre nombril, nos playlists idéales, le rock, les filles ?
Mais qu'est-ce qui nous fait avancer, nous, les mecs ? L'envie de laisser une trace, une oeuvre, des enfants, des histoires, des histoires de mecs valables, de mecs justes... L'envie de dessiner, de case en case, de plage en plage, de disque en disque...
Ou juste l'envie de danser ? Et tant pis si on est rouillés...
-
Dans Sunu Gaal, on entend des histoires de baobabs, de pirogues, de voleurs, de marabouts et toutes les bribes de vie qu'on croise à Saint Louis, le temps d'un thé sur les toits ou d'une virée sur les bords du fleuve Sénégal... Laissez-vous guider par l'auteure de Café Touba une page après l'autre, sans vous en rendre compte, vous êtes déjà ailleurs...
Léah Touitou fait partie de l'Épicerie Séquentielle et réalise le numéro de Décembre 2016 du journal Les Rues de Lyon. Elle anime des ateliers à Lyon et alentour, et dessine à l'Atelier Vermillon (Villeurbanne) en attendant de faire d'autre voyages. Café Touba son premier album a été réédité en juin 2018 après seulement quatre mois de mise en vente.
-
A chacun de ses concerts Sahra Halgan tient un drapeau qui pourrait être celui de l'Iran ; sauf qu'une étoile noire orne son coeur. C'est le drapeau de la République de Somaliland, la patrie de Sahra. Un pays indépendant depuis 1991, mais non reconnu par la communauté internationale. Sahra s'est tout d'abord révoltée contre la dictature de Siad Barré, puis elle est devenue le symbole de la résistance contre la guerre civile en Somalie.
Ce livre retracve son parcourt depuis son enfance, les camps de réfugiés, des camions-radios itinérants jusqu'à son exil en France, sans qu'à aucun moment sa détermination farouche à faire reconnaître son pays ne soit mise à mal.
-
En juillet 2015, Raymonde Howard, chanteuse de rock, Thomas W. et Anto, partent en tournée en Angleterre pour trois dates : Lincoln, Northampton et Oxford. Lors des premiers concerts, des douleurs au dos et dans le bas-ventre se font sentir chez Raymonde. Mais c'est lorsqu'elle n'arrive plus à marcher et que le paracétamol codéiné ne se montre plus assez puissant que commence la deuxième partie du voyage, dans les hôpitaux publics anglais...
-
Après Sans Commentaire en 2007 et Avec des frites paru en 2009, Deloupy nous livre le volume 3 de son Journal Approximatif. Parues d'abord sur son blog BD, ses histoires accompagnées d'inédits sont regroupées, formant un récit de 176 pages. Alternant séquences courtes croquant l'instant présent, l'humeur ou le mot du jour et morceaux de vie, parfois drôles, souvent touchantes, Pour de vrai, pour de faux va au plus profond des états d'âmes de l'auteur. Distinguer le vrai du faux, ce n'est pas le plus important en autobiographie. Reste la valeur du vécu retranscrit tel qu'il est ressenti, ici avec beaucoup de finesse et de sensibilité.
Avec de belles images imprimées en bichromie et un récit qui nous plonge dans son univers personnel, Deloupy réussit le pari de nous faire rire et de nous émouvoir, de nous questionner aussi sur notre propre histoire : quel regard portons-nous sur notre enfance ou notre vie d'adulte, comment faire pour garder un cap, évoluer sans se perdre ? Un très beau moment de lecture intimiste.
-
"A 10 ans, je n'étais pas un garçon compliqué...
A 20 ans, non plus !
Le jour de mes 30 ans, on m'a offert une poule !
Ca va, je ne l'ai pas trop mal pris !
Cette année là, je me suis marié mais je vous prie de croire que ça n'a pas de lien...
Et le jour de mes 40 ans, j'ai juste joué au foot...
Je ne regrette pas d'avoir 40 ans, mais est-ce que l'on devient plus sage en vieillissant ?
Est-ce que ma propension à regarder en arrière vient de là ?".
-
"Que faire lorsque l'on est sollicité pour intervenir en tant qu'artiste dans un établissement spécialisé pour des adultes handicapés. Ulric nous fait part de ses inquiétudes, de ses doutes, puis de sa lente familiarisation avec cet autre monde, de son intégration au groupe, de moments drôles et d'autres moins... Un véritable voyage en terre inconnue !"
-
Le souvenir d'un samedi idyllique à la maison. La mère repasse, le père s'enivre avant de sommeiller, l'enfant joue mais attention il pourrait réveiller de vieux démons...
Les Bêtises de Franz Suess, ce sont ces petits riens que nous commettons enfant, des choses sans grande importance, mais qui nous laisseront à jamais différents.