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Gallimard
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L'île au trésor
Robert Louis Stevenson
- Gallimard Jeunesse
- Folio Junior ; Textes Classiques
- 7 Mars 2013
- 9782070651849
La vie du jeune Jim Hawkins bascule le jour où un marin ivrogne et balafré s'installe dans l'auberge tenue par ses parents. Qui est réellement celui que l'on surnomme le «capitaine» ? Pourquoi se cache-t-il ? Une nuit, des pirates attaquent l'auberge. Jim n'a que le temps de fuir, emportant avec lui le secret du vieux forban : la carte d'une île abritant un fabuleux trésor... Le chef-d'oeuvre incontesté d'un maître de l'aventure.
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L'étrange cas du Dr. Jekyll et de M. Hyde
Robert Louis Stevenson
- Gallimard Jeunesse
- Folio Junior ; Textes Classiques
- 25 Janvier 2018
- 9782075094894
Qu'est-il arrivé au Dr Jekyll ? L'honorable médecin semble être tombé sous l'influence d'un mystérieux M. Hyde, homme grossier et violent, à qui il a légué sa fortune. Quand Hyde est accusé de meurtre, les amis du Dr Jekyll décident d'agir : il faut tirer le bon médecin des griffes de cet être démoniaque avant qu'il ne soit trop tard...
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L'île au trésor
Arthus Pilorget
- Gallimard Jeunesse
- Les Albums Musique
- 17 Novembre 2022
- 9782075161213
La vie tranquille du jeune Jim bascule lorsqu'il découvre une mystérieuse carte au trésor. Il décide alors de rejoindre l'équipage pour le moins insolite de l'Hispaniola et de partir à la recherche de ce butin enfoui sur une île inconnue...Les magnifiques illustrations d'Arthus Pilorget et la musique de Quentin Sirjacq nous emportent au coeur de l'aventure.
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Oeuvres Tome 1 : l'île au trésor ; Dr Jekyll et Mr Hyde
Robert Louis Stevenson
- GALLIMARD
- Bibliotheque De La Pleiade
- 14 Mars 2001
- 9782070112685
Ce volume contient, dans de nouvelles traductions, non seulement les deux chefs-d'oeuvre qui figurent au titre, mais aussi des ouvrages moins connus : deux récits de voyage, une recueil de nouvelles (Les Nouvelles Mille et Une Nuits), un romance (Le Prince Othon) et un roman à découvrir, Le Dynamiteur. C'est à la naissance d'un maître dans l'art du romance que l'on assiste ici. Stevenson tourne le dos à toute forme de réalisme et de naturalisme : «C'est quand on est incapable d'écrire Macbeth qu'on écrit Thérèse Raquin. [...] le grand homme crée la beauté, la terreur, le rire, là où le petit homme remplace la beauté par la psychologie, la terreur par la laideur, et le rire par la blague.» Ce que trahissent de tels propos, c'est bien la conception d'un art dont le but n'est pas de «faire concurrence à la vie». «Ce que fait l'homme, dans le raisonnement comme dans la création, c'est de fermer les yeux à demi sur la réalité qui l'éblouit [...] pour contempler une certaine abstraction de l'imaginaire.» Un art qui puise dans le réel, certes, mais en respectant son opacité : Stevenson laisse au monde son secret ; la narration cède le pas à la poésie, qui tente de hisser la réalité au niveau du mythe.
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L'étrange cas du Dr Jekyll et de Mr Hyde
Robert Louis Stevenson
- Gallimard Jeunesse
- Folio Junior
- 14 Novembre 2008
- 9782070622313
Comment l'excellent docteur Jekyll, éminent scientifique et membre de la meilleure société londonienne, a-t-il pu se lier avec M. Hyde, un homme violent et sans éducation ? Ses amis s'inquiètent : n'a-t-on pas vu le sinistre M. Hyde se glisser, aux petites heures du matin, chez le docteur, en utilisant sa propre clef ? Il ne fait aucun doute que le docteur Jekyll cache un effroyable secret...
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Oeuvres III ; veillées des îles ; derniers romans
Robert Louis Stevenson
- GALLIMARD
- Bibliotheque De La Pleiade
- 29 Mars 2018
- 9782070112708
La recherche de climats plus cléments pour sa santé fragile pousse Stevenson à s'installer en 1890 dans l'archipel des Samoa, sur l'île d'Upolu. En achetant le domaine de Vailima, il devient propriétaire terrien et chef de clan. Mais il est plus que jamais écrivain. Galvanisé par son exil thérapeutique, Tusitala, le «raconteur d'histoires» (tel est le nom que lui donnent les Samoans), multiplie les projets. Paraît un recueil de trois nouvelles, Veillées des îles. Apparemment fort composite - «La Plage de Falesá» est une fiction polynésienne, «Le Diable dans la bouteille» une version inversée du mythe de Faust, «L'Île aux voix» dérive d'une légende hawaïenne -, il révèle en réalité des textes majeurs et, avec «La Plage de Falesá», un véritable chef-d'oeuvre, qui scandalisa les lecteurs victoriens. Le Stevenson des mers du Sud récuse tout exotisme : «ces îles, il les montre pour ce qu'elles sont, rincées de leurs apparences paradisiaques, nettoyées jusqu'à l'os des mirages qui s'y attachaient encore : l'île sans l'idylle» (Marc Porée). Roman «proto-conradien», dans lequel le trouble Attwater semble annoncer le Kurtz d'Au coeur des ténèbres, Le Creux de la vague (The Ebb-Tide) s'inscrit dans la même ligne. Les lecteurs du XXle siècle seront sensibles à la réflexion sur le colonialisme anglo-saxon qui traverse ces textes.
Pendant les deux dernières années de sa vie, Stevenson ne compose pas moins de quatre romans. La veine écossaise n'est pas négligée. Sept ans après Enlevé! paraît une nouvelle aventure de David Balfour : Catriona. Sur fond de nationalisme écossais, le coeur du jeune David balance entre la volcanique Catriona, fille du clan MacGregor, et une Hanovrienne piquante, Barbara Grant. Situation bien connue des lecteurs de Waverley, le premier roman de Walter Scott. On retrouve l' influence de ce dernier dans Saint-Yves, roman historique échevelé, abandonné après trente chapitres ; ces aventures d'un soldat de Napoléon retenu prisonnier au château d'Édimbourg seront complétées par Arthur Quiller-Couch, dont on trouvera ici, en appendice, les six chapitres conclusifs. Catriona et Saint-Yves sont contemporains de l'engagement de Stevenson auprès des rois de Samoa, qui lui rappelaient les chefs de clan des hautes terres d'Écosse : «Entre le passé et le présent, le lointain et le proche, l'histoire et la fiction, le chassé-croisé est constant, et les frontières tombent» (M. Porée).
Stevenson meurt à Vailima le 3 décembre 1894 ; il avait quarante-quatre ans. Il aurait encore travaillé à son dernier roman le matin de sa mort. Mais Hermiston restera inachevé. La violente histoire d'Adam Weir, le «juge pendeur», et de son fils Archie, qui s'oppose à la peine de mort, «devrait provoquer ou bien des ronflements ou bien une tornade», estimait l'écrivain. Ce que l'on a conservé de ce qui aurait été son ultime chef-d'oeuvre donne à penser que la seconde hypothèse était la bonne.
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Oeuvres Tome 2 ; le maître de Ballantrae et autres romans
Robert Louis Stevenson
- GALLIMARD
- Bibliotheque De La Pleiade
- 14 Avril 2005
- 9782070112692
«Toute lecture digne de ce nom se doit d'être absorbante et voluptueuse», écrit Stevenson dans À bâtons rompus sur le roman. Les oeuvres rassemblées dans ce deuxième volume, écrites pour la plupart au cours de l'errance à laquelle la quête de climats propices à sa santé oblige désormais Stevenson, ont à coeur de répondre à cette injonction et jouent de toutes les facettes du romanesque : Enlevé ! se transporte dans les Highlands, où il file ventre à terre ; La Chaussée des Merry Men a pour décor un îlot d'Écosse battu par les vagues ; La Flèche noire relate des «Aventures au temps de la guerre des Deux-Roses» ; Le Grand Bluff, pastiche plein de fantaisie, navigue plutôt entre romance, enquête policière et sensationnel ; Le Maître de Ballantrae, chef-d'oeuvre incontestable de cette période, multiplie les sauts de puce entre l'Ancien et le Nouveau Monde, l'Écosse, l'Inde et l'Amérique ; quant au Pilleur d'épaves, première fiction inspirée par les mers du Sud - on sait que Stevenson finira ses jours aux Samoa -, l'auteur semble y récapituler toute sa trajectoire passée. Pas un personnage, dans ces romans où le thème du double est toujours présent, qui ne soit fasciné par qui se montre plus exalté, plus retors, plus séduisant que lui. Entre peur et exultation, le lecteur, qui joue à être le héros du récit, renoue avec des sensations d'enfance qu'il croyait perdues ou pensait émoussées...
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Charles d'orleans
Robert Louis Stevenson
- GALLIMARD
- Le Cabinet Des Lettres
- 5 Janvier 1993
- 9782070728763
Charles d'Orléans (1391-1465) fut un des premiers «captifs amoureux» qui aient hanté la littérature française, et l'aient émue de leurs plaintes. Né duc, neveu de roi, il eut à venger l'assassinat de son père, perpétré par Jean sans Peur. Ce délicat adolescent, poète-né, enterra la première partie de sa vie dans les combats de cette noire époque. En 1415, lors de la défaite d'Azincourt, il est fait prisonnier. Il passe vingt-cinq ans de sa vie dans les geôles anglaises ; là, il sombre dans la poésie comme d'autres dans l'alcool, confiant au parchemin ses amours mortes, sa liberté perdue, son pays déchiré. De retour à Blois, devenu sage, il s'abandonne à la contemplation du monde, dans une des poésies les plus exquises qui aient jamais été écrites.Cette courte étude en dit autant sur l'homme Charles que sur cette civilisation finissante, qui, comme une chenille, allait se métamorphoser en un papillon insouciant : la Renaissance.
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La malle en cuir ou la société idéale
Robert Louis Stevenson
- GALLIMARD
- Du Monde Entier
- 13 Mai 2011
- 9782070759118
Voici le premier roman qu'écrivit R L Stevenson, resté jusqu'à ce jour à l'état de manuscrit.
Une lettre de Stevenson à Fanny Sitwell, datée de mai 1877, l'annonçait avec enthousiasme : « Sonnez tambours, résonnez trompettes - je suis embarqué sur - trompettes, tambours - un roman ! The Hair Trunk, or the Ideal Commonwealth ». Ce roman devait rester inachevé. Il y travaillait encore, juste avant de s'embarquer le 7 août 1877 pour la Californie, où il allait retrouver, et épouser après de terribles épreuves, Fanny Osbourne. A l'époque, Stevenson était occupé à préciser son idée d'une « société nomade » se constituant le long des routes.
Vivre sans maison, sans attaches, ne rien posséder que son léger bagage, passer de lieu en lieu avant que ne se figent les relations entre les êtres. Ce fut, dès lors, son « pari bohémien » qu'il tenta de vivre pendant ses années parisiennes, passant de chambres d'hôtel en studios d'amis, ne faisant plus que de brèves apparitions chez ses parents, goûtant par-dessus tout le bonheur de s'éprouver ici bas comme un « voyageur sans bagage ».
Il fallait rien moins qu'un roman pour dire ces temps heureux de la bohème. Mais le roman prit du retard. La raison première, évidente, tient à l'état d'urgence dans lequel vivait Stevenson : le besoin d'argent, la maladie à rechutes fréquentes, le tourbillon des amis, la pression effrayante exercée par ses parents, tout le poussait à la forme courte, de rentabilité modeste, peut-être, mais immédiate.
Au retour de Californie, La malle en cuir ne fut pas repris. Les épreuves de la traversée, la mort omniprésente, la rupture avec les siens, l'abandon par ses amis, le sentiment du désespoir d'une perte de soi, avaient conduit Stevenson au delà de lui-même. C'est un Stevenson sûr de son art qui sort de telles épreuves : poursuivre La malle en cuir n'avait plus de sens. Un chapitre manquait, probablement un peu plus.
Michel Le Bris, qui découvrit le manuscrit dans une bibliothèque américaine au bout d'un véritable jeu de piste, s'est servi de ce que son étude approfondie de Stevenson lui a permis de savoir de la suite de son projet, et de l'évolution de sa philosophie, pour imaginer une fin, tout aussi savoureuse que le roman.
Edition établie, présentée et prolongée par Michel Le Bris
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Le pavillon dans les dunes
Robert Louis Stevenson
- Gallimard Jeunesse
- Folio Junior
- 2 Janvier 2003
- 9782070552788
Frank cassilis voyage en ecosse et veut profiter de l'occasion pour rendre visite à un vieil ami qu'il n'a pas revu depuis des années.
Il est alors témoin d'un étrange trafic : un bateau débarque de mystérieux passagers sous bonne escorte en pleine nuit. et le seul accueil qu'on lui réserve est un coup de couteau dans l'épaule... qu'importe, frank cassilis est biendécidé à percer le mystère quientoure le pavillon dans les dunes.
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Olalla des montagnes et autres contes noirs
Robert Louis Stevenson
- GALLIMARD
- L'imaginaire
- 18 Mai 2006
- 9782070779918
Olalla, héritière d'une race dégénérée, sinon maudite, se refuse à perpétuer les tendances perverses de ses ascendants ; Markheim décide de briser sa fatalité intérieure en expiant, et Janet, pauvre âme possédée par le diable, marque à jamais le ministère du jeune révérend Murdoch Soulis... Inspirés à Stevenson par les brownies, ses lutins intimes, ces contes sont d'une grande intensité, pleins de passions, de pittoresque et de péripéties. Contes noirs et fantastiques, ils sont aussi portés par l'ambiguïté et l'inquiétude, et Stevenson, sous couleur d'amuser son public, n'en poursuit pas moins sa réflexion sur l'autonomie et la responsabilité humaines. C'est toujours le même douloureux mystère, celui de la complexité, de l'hétérogénéité de l'âme humaine, celui, essentiel, du motif narcissique et angoissant du Double.